Le bout de mes doigts timides parfois.. vient glisser doucement ici pour poser là en tout petit un peu de douceurs à nos modérateurs toujours là, ces jolis avatars là même quand on ne les voit pas présents quand ça ne va pas surtout lorsque rien ne va ils ne fléchissent pas même devant les grosses voix qui s'élèvent ici et là. Que virevoltent jusqu'à vous ces quelques légères pensées de cet espace temps...échappées
Modérateurs, Modératrice au plaisir de vous y croiser...
Petit tour au détour de ce jour, Cela faisait des jours et des jours, Mais en ce jour spécial, Le besoin ce faisait sentir, de venir..se poser et penser, à une étoile particulière
Triste Les moments de joies sont entremêlés parfois de tristes moments la légèreté du plaisir fait si mal par endroits si lourd à porter est le sentiment du bien même un cours instant S'oublier, depuis des années le seul remède à ces ambivalences cachées de vouloir être et disparaître d'exister dans les émotions et de souffrir de les ressentir tristement l'émoi du plaisir reste en soi
Perdue est l'étoile, Où est-elle... parmi des milliers d'étoiles, elle brille sûrement aussi, au milieu d'elles, une étoile s'est perdue, elle est éperdument absente, elle est là, loin de mon astre, mais elle brille au loin, inatteignable souvent, souvent elle m'atteint, par sa pure brillance, trop brillante...l'absence.
HORIZON PERDU Le brouillard étend son voile devant
moi, Les souvenirs s’étirent jusqu’à ne
plus se souvenir, Tu es en moi avec tant d’émoi, Le trouble de mes sentiments s’empare
de l’horizon, L’intérieur de mon corps se laisse
envahir d’émotions, Il se tord dans des pensées éperdues, Les limbes sont ces lieux perdus, Ma peine ne sait pas comment laisser, Ton âme vers l’ailleurs s’en aller.
SEMBLANT Faire
semblant, Au milieu
des gens, Droit
devant, l’air vaillant Facile
fragile, de gérer sa peine Ils ne
font pas de bruit mes cris assourdissants Au milieu
des gens, de leurs bruits Au travers
de leur vie, ma peine survit.. S’ignorer
soi-même, Faire
figure humaine, Aller là
où le vent me mène Emporter
ma peine, ma haine A l’abri
de ces bruits condescendants Au gré de
son souffle léger Se laisser
emporter, porter, survoler S’oublier
un cours moment Sourire et… mon âme ment Un instant, tout le temps Rien n'est plus comme avant Au
milieu des gens
oh si j'ai bien envi de venir me joindre à ce thème de poésie, même si personne ne lit ça fait du bien d'écrire de jolies choses c'est super beau tout ceux que j'ai lu, je viendrais promis
Réponses
Le bout de mes doigts
timides parfois..
vient glisser doucement ici
pour poser là en tout petit
un peu de douceurs
à nos modérateurs
toujours là, ces jolis avatars là
même quand on ne les voit pas
présents quand ça ne va pas
surtout lorsque rien ne va
ils ne fléchissent pas
même devant les grosses voix
qui s'élèvent ici et là.
Que virevoltent jusqu'à vous
ces quelques légères pensées
de cet espace temps...échappées
Modérateurs, Modératrice
au plaisir de vous y croiser...
Cela faisait des jours et des jours,
Mais en ce jour spécial,
Le besoin ce faisait sentir,
de venir..se poser et penser,
à une étoile particulière
Les moments de joies
sont entremêlés parfois
de tristes moments
la légèreté du plaisir fait si mal par endroits
si lourd à porter est le sentiment du bien
même un cours instant
S'oublier, depuis des années
le seul remède à ces ambivalences cachées
de vouloir être et disparaître
d'exister dans les émotions et de souffrir de les ressentir
tristement l'émoi du plaisir
reste en soi
Où est-elle...
parmi des milliers d'étoiles,
elle brille sûrement aussi,
au milieu d'elles,
une étoile s'est perdue,
elle est éperdument absente,
elle est là, loin de mon astre,
mais elle brille au loin,
inatteignable souvent,
souvent elle m'atteint,
par sa pure brillance,
trop brillante...l'absence.
A une merveilleuse Etoile
Le brouillard étend son voile devant moi,
Les souvenirs s’étirent jusqu’à ne plus se souvenir,
Tu es en moi avec tant d’émoi,
Le trouble de mes sentiments s’empare de l’horizon,
L’intérieur de mon corps se laisse envahir d’émotions,
Il se tord dans des pensées éperdues,
Les limbes sont ces lieux perdus,
Ma peine ne sait pas comment laisser,
Ton âme vers l’ailleurs s’en aller.
Faire semblant,
Au milieu des gens,
Droit devant, l’air vaillant
Facile fragile, de gérer sa peine
Ils ne font pas de bruit mes cris assourdissants
Au milieu des gens, de leurs bruits
Au travers de leur vie, ma peine survit..
S’ignorer soi-même,
Faire figure humaine,
Aller là où le vent me mène
Emporter ma peine, ma haine
A l’abri de ces bruits condescendants
Au gré de son souffle léger
Se laisser emporter, porter, survoler
S’oublier un cours moment
Sourire et… mon âme ment
Un instant, tout le temps
Rien n'est plus comme avant
Au milieu des gens
Bon ... plus rien depuis longtemps ... Dommage
Si quelqu'un sait , merci de me prévenir...
pas taper si je ne suis pas dans le bon canal ... hihi
La signature est très réussie .