J'écris toujours celà, "ave l'assent" (avec l'accent, alors que je n'ai pas l'accent, lol) Mais j'ai une petite excuse, cela existe sur le dictionnaire: celà= variante orthographique peu commune de "cela". ..................................................... Alors je vais essayer de ne faire que 10 faute pour te remercier de cette charmante attention que je n'avais pas préssenti. Quelle surprise de trouver une étable entouré d'un hallo brillant. Ce n'ai pas souvent qu'elle s'illumine ainsi comme un sous neuf. Tu as accomplis l'exploit de nettoyer étonnament mon étable comme Hercule nettoyat les écuries d'Augias.
Alors je vais essayer de ne faire que 10 fautes (1) pour te remercier de
cette charmante attention que je n'avais pas préssentipressentie (2 et 3). Quelle surprise
de trouver une étable entourée (4) d'un hallohalo (5) brillant. Ce n'aiest (6) pas souvent qu'elle s'illumine ainsi comme un soussou (7) neuf. Tu as accomplisaccompli (8) l'exploit de nettoyer étonnamment (9) mon étable comme Hercule nettoyatnettoya les écuries d'Augias.
Je rappelle qu'il reste le texte de Chrisgaby à corriger :
"L’idée
de Paris, comme l’idée de toute choze, a été créé par les écrivains, Hugo, Balzac, Zola, Proust, tant d’autres et jusqu’à nos jours et il y en aura temps que la ville n’aura pas été reconquise par les chèvres. L’opérat, qui est assez
bête, en a fixer une imagerie reprise par la comédie musical, qui n’est pas odacieuse. Le Louise de Charpentier, La Boème de Puccini ont
inventé le lieu commun de l’artiste sans le sous à qui il arrive quelque chose de
malheureux dans l’opéra, d’heureux dans la comédie musicale. Les spectateurs à
trois cent euros la place sont contents.
"L’idée
de Paris, comme l’idée de toute choze, a été créé par les écrivains, Hugo, Balzac, Zola, Proust, tant d’autres et jusqu’à nos jours et il y en aura temps que la ville n’aura pas été reconquise par les chèvres. L’opérat, qui est assez
bête, en a fixer une imagerie reprise par la comédie musical, qui n’est pas odacieuse. Le Louise de Charpentier, La Boème de Puccini ont
inventé le lieu commun de l’artiste sans le sous à qui il arrive quelque chose de
malheureux dans l’opéra, d’heureux dans la comédie musicale. Les spectateurs à
trois cent euros la place sont contents.
Personne ne vient corriger. Alors je sors ma gomme avant d'aller me coucher!
"L’idée
de Paris, comme l’idée de toute choze (chose), a été créé (créée) par les écrivains,
Hugo, Balzac, Zola, Proust, tant d’autres et jusqu’à nos jours et il y
en aura temps (tant) que la ville n’aura pas été reconquise par les chèvres.
L’opérat (opéra), qui est assez
bête, en a fixer(fixé) une imagerie reprise par la comédie musical (musicale), qui n’est
pas odacieuse (audacieuse). Le Louise de Charpentier, La Boème (Bohème) de Puccini ont
inventé le lieu commun de l’artiste sans le sous(sou) à qui il arrive quelque chose de
malheureux dans l’opéra, d’heureux dans la comédie musicale. Les spectateurs à
trois cent (cents) euros la place sont contents.
Dans cette journée grise, une immense tâche jaune illuminne ce coin de jardin presque depouillé. Le jaune d'or de cet arbustre qui fût merveilleux avec ses baies rouges a changé le décor. Le vent aura raison de toute cette splendeur d'ici quelque semaines. En attendant, quelle joie pour les yeux que cet or gratuit remplacant le soleil. Les beaux jours qui nous ont ébloui sont rangés dans les tiroirs presque hiverneaux.
Dans cette journée grise, une immense tache jaune illumine ce coin de
jardin presque dépouillé. Le jaune d'or de cet arbuste qui fut
merveilleux avec ses baies rouges(jaunes) a changé le décor. Le vent aura raison
de toute cette splendeur d'ici quelques semaines. En attendant, quelle
joie pour les yeux que cet or gratuit remplaçant le soleil. Les beaux
jours qui nous ont ébloui sont rangés dans les tiroirs presque
hivernaux.
Bonsoir à tous Je me permets de relancer le jeu. Dix fautes à trouver
J'ai rêvé...
Cette nuit j'ai rêvé Que cosmonaute je devenait Que mes pensées s'envolaient Vers le ciel noir de la voie lactée
Sur une byciclette je suis montée Dans l'espace je suis allée Les étoiles se sont allumées Quand sur leur chemins je passais
Des extraterrestres m'ont invitée Ils m'ont gentilment proposé De venir avec eux regarder La pluie de comètes tombait
Puis nous avons mangé Des bouts de Soleil et du ciel bleutée Je me suis régalée Quel festain c'était !
Finalement ils m'ont ramenée Sur ma planette. J'ai alors remarqué Qu'on n'y pouvait plus réver Car la société prend tous, même la liberté de penser.
Je devenais
Bicyclette
chemin
Gentiment
Tomber
Bleuté
Festin
Planète
Rêver
Tout
Bravo myosotis29, un sans faute
Voici 10 erreurs à trouver !
Bien des explorateur ont ambitioné d'accéder à ce désert éternelement gelé, tout au bout du globe. Là commence le voyage du froid et les risques que l'on y encourt. Un homme, téméraire et assoiffé de résultats scientifiques primordiaux pour l'humanité s'y est engagé. Les conditions physiques très éprouvantes du climat antartique très rigoureux, l'ont poussé vers le pole. Les températures sous zéro qu'il a supportées là-bas ne l'ont pas empêché comme d'autres aventuriers avant lui, d'être fascinés devant la nature dépouillée et sublime dissimulant des merveilles insoupconées. L'épaisseur impressionnante de glace, qu'ont foulée les passionnés, les a renseignés sur un passé très éloigné, préhistorique. Il fallait que l'homme, curieux de ce que révèlent la banquise fragmentée et les pics de granit voie l'immensité éblouissante qui donne le frisson. Ces héros des temps modernes alimentent nos rêves quoique nous préfèrions souvent notre petit confort domestique, bien moins périlleux et combien plus doulliet.
Bien des explorateur ont ambitioné d'accéder à ce désert éternelement gelé, tout au bout du globe. Là commence le voyage du froid et les risques que l'on y encourt. Un homme, téméraire et assoiffé de résultats scientifiques primordiaux pour l'humanité s'y est engagé. Les conditions physiques très éprouvantes du climat antartique très rigoureux, l'ont poussé vers le pole. Les températures sous zéro qu'il a supportées là-bas ne l'ont pas empêché comme d'autres aventuriers avant lui, d'être fascinés devant la nature dépouillée et sublime dissimulant des merveilles insoupconées. L'épaisseur impressionnante de glace, qu'ont foulée les passionnés, les a renseignés sur un passé très éloigné, préhistorique. Il fallait que l'homme, curieux de ce que révèlent la banquise fragmentée et les pics de granit voie l'immensité éblouissante qui donne le frisson. Ces héros des temps modernes alimentent nos rêves quoique nous préfèrions souvent notre petit confort domestique, bien moins périlleux et combien plus doulliet.
Bien des explorateur ont ambitioné d'accéder à ce désert éternelement gelé, tout au bout du globe. Là commence le voyage du froid et les risques que l'on y encourt. Un homme, téméraire et assoiffé de résultats scientifiques primordiaux pour l'humanité s'y est engagé. Les conditions physiques très éprouvantes du climat antartique très rigoureux, l'ont poussé vers le pole. Les températures sous zéro qu'il a supportées là-bas ne l'ont pas empêché comme d'autres aventuriers avant lui, d'être fascinés devant la nature dépouillée et sublime dissimulant des merveilles insoupconées. L'épaisseur impressionnante de glace, qu'ont foulée les passionnés, les a renseignés sur un passé très éloigné, préhistorique. Il fallait que l'homme, curieux de ce que révèlent la banquise fragmentée et les pics de granit voie l'immensité éblouissante qui donne le frisson. Ces héros des temps modernes alimentent nos rêves quoique nous préfèrions souvent notre petit confort domestique, bien moins périlleux et combien plus doulliet.
Bonsoir Lily,
Explorateurs
Ambitionné
Éternellement
Commencent
Antarctique
Pôle
Fasciné
Insoupçonnées
Préférions
Douillet
Bonsoir à tous Bravo myosotis29 Voici 10 erreurs à trouver !
Qui donc peut calculer le trajet d'une mollécule ? Que savons-nous si des créations de monde ne sont point déterminées par des chutes de grains de sables ? Qui donc connait les flux et les reflux réciproques de l'infiniment grand et de l'infiniment petit, le retantissement des causes dans les précipices de l'être, et les avalenches de la création ? Un ciron importe ; le petit est grand, le grand est petit ; tout est en équilibre dans la nécessité ; efrayante vision pour l'esprit. Il y a entre les êtres et les choses des relations de prodige ; dans cet inépuisable ensemble, de soleil à puceron, on ne se méprise pas ; on a besoin les uns des autres. La lumière n'emporte pas dans l'asur les parfums terrestres sans savoir ce quelle en fait ; la nuit fait des distributions d'essence stelaire aux fleurs endormies.
Réponses
Edit : désolée, Chris, je me suis trompée de bâtiment, j'aurais pu faire mieux...
J'écris toujours celà, "ave l'assent" (avec l'accent, alors que je n'ai pas l'accent, lol)
Mais j'ai une petite excuse, cela existe sur le dictionnaire: celà= variante orthographique peu commune de "cela".
.....................................................
Alors je vais essayer de ne faire que 10 faute pour te remercier de cette charmante attention que je n'avais pas préssenti. Quelle surprise de trouver une étable entouré d'un hallo brillant.
Ce n'ai pas souvent qu'elle s'illumine ainsi comme un sous neuf.
Tu as accomplis l'exploit de nettoyer étonnament mon étable comme Hercule nettoyat les écuries d'Augias.
Ce n'ai est (6) pas souvent qu'elle s'illumine ainsi comme un sous sou (7) neuf.
Tu as accomplis accompli (8) l'exploit de nettoyer étonnamment (9) mon étable comme Hercule nettoyat nettoya les écuries d'Augias.
Je rappelle qu'il reste le texte de Chrisgaby à corriger :
Dans cette journée grise, une immense tâche jaune illuminne ce coin de jardin presque depouillé. Le jaune d'or de cet arbustre qui fût merveilleux avec ses baies rouges a changé le décor. Le vent aura raison de toute cette splendeur d'ici quelque semaines. En attendant, quelle joie pour les yeux que cet or gratuit remplacant le soleil. Les beaux jours qui nous ont ébloui sont rangés dans les tiroirs presque hiverneaux.
IIl reste une erreur
... qui nous ont éblouiS...
Je me permets de relancer le jeu.
Dix fautes à trouver
J'ai rêvé...
Cette nuit j'ai rêvé
Que cosmonaute je devenait
Que mes pensées s'envolaient
Vers le ciel noir de la voie lactée
Sur une byciclette je suis montée
Dans l'espace je suis allée
Les étoiles se sont allumées
Quand sur leur chemins je passais
Des extraterrestres m'ont invitée
Ils m'ont gentilment proposé
De venir avec eux regarder
La pluie de comètes tombait
Puis nous avons mangé
Des bouts de Soleil et du ciel bleutée
Je me suis régalée
Quel festain c'était !
Finalement ils m'ont ramenée
Sur ma planette. J'ai alors remarqué
Qu'on n'y pouvait plus réver
Car la société prend tous, même la liberté de penser.
- Je devenais
- Bicyclette
- chemin
- Gentiment
- Tomber
- Bleuté
- Festin
- Planète
- Rêver
- Tout
Bravo myosotis29, un sans fauteVoici 10 erreurs à trouver !
Bien des explorateur ont ambitioné d'accéder à ce désert éternelement gelé, tout au bout du globe.
Là commence le voyage du froid et les risques que l'on y encourt.
Un homme, téméraire et assoiffé de résultats scientifiques primordiaux pour l'humanité s'y est engagé.
Les conditions physiques très éprouvantes du climat antartique très rigoureux, l'ont poussé vers le pole.
Les températures sous zéro qu'il a supportées là-bas ne l'ont pas empêché comme d'autres aventuriers avant lui, d'être fascinés devant la nature dépouillée et sublime dissimulant des merveilles insoupconées.
L'épaisseur impressionnante de glace, qu'ont foulée les passionnés, les a renseignés sur un passé très éloigné, préhistorique.
Il fallait que l'homme, curieux de ce que révèlent la banquise fragmentée et les pics de granit voie l'immensité éblouissante qui donne le frisson.
Ces héros des temps modernes alimentent nos rêves quoique nous préfèrions souvent notre petit confort domestique, bien moins périlleux et combien plus doulliet.
Bonsoir Lily,
Bonsoir Lily,
- Explorateurs
- Ambitionné
- Éternellement
- Commencent
- Antarctique
- Pôle
- Fasciné
- Insoupçonnées
- Préférions
- Douillet
Bonsoir à tousBravo myosotis29
Voici 10 erreurs à trouver !
Qui donc peut calculer le trajet d'une mollécule ? Que savons-nous si des créations de monde ne sont point déterminées par des chutes de grains de sables ? Qui donc connait les flux et les reflux réciproques de l'infiniment grand et de l'infiniment petit, le retantissement des causes dans les précipices de l'être, et les avalenches de la création ? Un ciron importe ; le petit est grand, le grand est petit ; tout est en équilibre dans la nécessité ; efrayante vision pour l'esprit. Il y a entre les êtres et les choses des relations de prodige ; dans cet inépuisable ensemble, de soleil à puceron, on ne se méprise pas ; on a besoin les uns des autres. La lumière n'emporte pas dans l'asur les parfums terrestres sans savoir ce quelle en fait ; la nuit fait des distributions d'essence stelaire aux fleurs endormies.