Poussière d’Etoiles de Ludovic Florent
Imaginée et réalisée par le photographe français Ludovic Florent, Poussières d'Etoiles est une superbe série de photographies qui met en scène des danseurs en plein mouvement avec du sable.
.
de .......:
Passionné par la danse et l'énergie que dégage ces professionnels du spectacle, le photographe russe Alexander Yakovlev déclenche son appareil photo avec de magnifiques clichés en arrêt sur image.
Dans sa série monochromatique intitulée Big Bang, le photographe "gèle" les actions des danseurs en plein mouvement avec l'explosion de farine autour d'eux.
Friesland Campina Kievit, Jeffrey Vanhoutte
Ce dernier a choisi la danseuse Noi Pakon à qui il a demandé de virevolter et de sauter parmi des nuages de poudres afin de l'immortaliser. Pleine de légèreté et d'équilibre et grâce aux nombreuses particules autour d'elle, la danseuse se trouve comme suspendue dans les airs, figée dans le temps.
Le photographe américain Tim Tadder revient pour un projet personnel, créé il y a 2 ans, intitulé : Explosive Color.
Pour capturer ces danseurs professionnels émergeant de fumées colorées denses, l'artiste a trompé notre œil en utilisant de l'amidon de maïs coloré et un canon à air. Une idée astucieuse pour ses photographies énergiques à découvrir dans la suite.
Incident lors de l'opération Béryl : l'essai nucléaire souterrain laisse s'échapper un nuage radioactif à In Ekker
un plus euhh,je vous montres c’est tout
en rien je m'engage dans ces propos qui pourrai peut etre choquer certain
juste partagé
Ici dans le nuage radioactif se cache une tête de clown
- type Ronald McDonald (voir ci-dessous)
– pouvant être interprétée comme « se moquant symboliquement des victimes ».
Une image subliminale est extrêmement troublante car sans que vous le remarquiez, vous apercevez inconsciemment des messages non maitrisables de vous.
Sans le savoir, vous scannez continuellement les images en tentant de trouver des visages car l’œil humain cherche inconsciemment les regards (La première chose qu’apprend à décoder un bébé est l’expression faciale pour détecter le danger ou la sécurité d’une personne connue).
Pour ceux qui ne voient toujours pas, voici la solution !
"Je vais être enterré vivant": le récit des journalistes de l'AFP dans l'enfer de l'Everest
Le camp de base de l'Everest dévasté, le 25 avril 2015, après une avalanche provoquée par le séisme au Népal
Un nuage de neige et de débris lors d'une avalanche, le 25 avril 2015, juste avant de s'abattre sur le camp de base de l'Everest
Le camp de base de l'Everest le 26 avril 2015 un jour après l'avalanche déclenchée par le séisme au Népal (AFP - ROBERTO SCHMIDT)
"Nous avons alors entendu ce bruit si terrible. C'était comme un train mais qui venait de si profond (..) et puis finalement le calme, un calme absolu, je savais que j'étais vivant", raconte le photographe de l'AFP, Roberto Schmidt en se remémorant l'instant où il a cru mourir dans une avalanche sur l'Everest.
Roberto Schmidt, responsable photo pour l'AFP en Asie du Sud, et Ammu Kannampilly, directrice du bureau de Katmandou, venaient d'atteindre le camp de base de l'Everest samedi pour un reportage quand une avalanche, déclenchée par le séisme qui a tué plus de 4.350 personnes au Népal, s'est abattue sur la montagne.
Réfugiés dans la ville de Lukla, porte d'accès des alpinistes s'attaquant à l'Everest, ils font le récit de ces heures dramatiques.
- Roberto Schmidt -
"Nous venions d'arriver après un trek de neuf jours. C'est une marche difficile mais l'endroit est incroyable, à couper le souffle dans tous les sens du terme.
A peine arrivé, j'ai pris toutes sortes de photos et j'ai commencé à chercher notre tente.
Nous n'étions pas là depuis plus de 10 minutes que nous avons senti ce grondement, un gémissement. Ammu m'a demandé: 'qu'est-ce que c'est?" J'ai répondu que la terre bougeait, que c'était une avalanche.
J'ai grandi en Colombie où nous sommes habitués aux tremblements de terre mais je n'avais jamais entendu une chose pareille.
Nous sommes sortis de la tente et nous avons alors entendu ce bruit si terrible. C'était comme un train mais qui venait de si profond, c'était tellement puissant.
Le temps était très nuageux, Ammu est rentrée sous la tente et je me souviens avoir regardé sur ma gauche et tout à coup j'ai vu cette vague, accompagnée d'un grondement et je me suis dit +putain de merde+. C'était si énorme, les images n'en rendent pas totalement compte.
J'ai attrapé mon appareil, appuyé sur le déclencheur, pris trois photos et elle était sur nous. J'ai sauté à l'intérieur et me suis réfugié sous la table.
Il y a d'abord eu le vent puis comme une vague qui vous percute, nous avons été balayés, tu ne sais plus où tu es. Tu dégringoles.
Finalement, j'ai repris mes esprit, me suis mis sur le dos et j'ai entendu ce bruit de pierres qui chutent et je me suis dit: +ça y est, je vais être enterré vivant+.
Elles se sont amassées au-dessus de moi et puis finalement le calme, un calme absolu, je savais que j'étais vivant. Je savais que j'étais conscient mais je devais trouver le moyen de respirer.
J'ai essayé de me dégager, de trouver de l'air (..) et tout à coup j'ai senti une main me tirer: c'était notre sherpa Pasang.
Ammu saignait et avait un ongle arraché à la main gauche.
Nous avons eu de la chance car nos tentes étaient proches d'un rocher qui nous a empêchés d'être complètement balayés.
Je me suis dit qu'il fallait que je trouve mon appareil et Pasang me l'a tendu, enveloppé dans un bloc de neige. L'appareil était intact, l'objectif n'était même pas cassé.
Nous sommes sortis de la tente et les gens ont commencé à surgir de nulle part, tous complètement sidérés. J'ai commencé à prendre des photos et je me suis alors demandé si je devais prendre des photos ou apporter mon aide.
Dans l'heure qui a suivi, j'ai dû entendre près d'une dizaine d'avalanches aux alentours. Elles n'étaient pas loin mais je ne pouvais les voir tellement il y avait de nuages. Le bruit était très inquiétant, terrifiant, on ne savait pas si elles venaient vers nous.
J'ai commencé à aider un Népalais blessé et je me souviens lui avoir parlé de nos familles, lui avoir dit que nous reverrions nos fils. C'était un bon moment, quelque chose d'humain au milieu de tout ça.
Nous avons marché jusqu'à la tente Himex (nom de l'agence organisant l'expédition) et Ammu était là, toute bandée.
- Ammu Kannampilly -
"Il y a eu ce bruit et Roberto est sorti pour prendre des photos.
Je me suis ruée à l'intérieur pour prendre ma caméra et en une fraction de seconde il m'a crié de me coucher, il a couru dans la tente et j'ai plongé sous la table en fermant les yeux.
"Quand la secousse s'est arrêtée, j'ai rouvert les yeux et tout était blanc, comme si nous avions été plongés dans un paquet de sucre glace.
J'ai tenté de dégager la neige et ai réalisé que mes mains étaient couvertes de sang, mes lunettes avaient disparu et j'ai crié le nom de Roberto et je l'ai entendu marmonner +mon Dieu+ en espagnol.
J'ai entendu Pasang appeler mon nom et j'ai crié aussi fort que possible, il a couru et a arraché le tissu de la tente pour nous tirer de là. Il y avait quelque chose sur ma jambe qu'il a enlevé, je crois.
Je me souviens me relevant et tout était blanc et très, très calme. Je me suis dit: comment cela peut-il être si calme, où sont-ils tous?
J'ai vu l'un des porteurs, qui souffrait beaucoup, recouvert de couvertures.
La responsable de la tente des repas que j'avais rencontrée deux minutes plus tôt était là, sa tête saignait.
J'ai trouvé un rouleau de papier toilette et j'ai essayé de l'enrouler autour de sa tête et elle a commencé à bander ma main.
Après les premières répliques, j'ai sorti ma caméra et j'ai commencé à filmer en mode automatique, parce que je ne voyais pas bien.
Le papier toilette tenait mal et le sang a coulé sur la caméra, il y a eu de nouvelles répliques et le sherpa nous a dit de sortir.
Nous sommes allés à la tente Himex - ils l'appellent la capsule blanche - et ils m'ont nettoyé les mains.
Ils m'ont dit +assieds-toi là+ mais je n'étais pas tranquille car je n'aidais personne et je ne travaillais pas.
J'avais l'impression qu'il fallait que je fasse quelque chose, alors on m'a donné une paire de gants, un sherpa est venu avec moi et j'ai pris quelques plans des secours.
Je me souviens m'être dit qu'ils avaient été très rapides à se mobiliser. Il n'y avait pas d'hélicoptère le premier jour mais je me suis dit, ouah, les gens sont déjà pris en charge. Ils organisaient l'aide médicale et nous ont fourni des sacs de couchage.
Nous étions 15-20 dans la tente Himex cette nuit là mais je n'ai pas vraiment pu dormir et j'ai continué à penser au porteur blessé, je n'arrivais pas à comprendre pourquoi nous avions survécu.
Au milieu de la nuit, j'ai dû aller aux toilettes et en revenant j'ai levé la tête et vu les montagnes, un ciel immaculé, comme si rien ne s'était passé ce jour-là".
Réponses
sont bien bien tes images
Bonne nuit Zaz
Bien pensé Peggy ta liste de themes
Belle et bonne journée (ou nuit) à tous
coucou moelleux Iva, Grandp'
Bonjour Grand poirier:)
Merci Norm pour tes choix
qqes nuages différents
de fumée:
de sable:
Poussière d’Etoiles de Ludovic Florent
Imaginée et réalisée par le photographe français Ludovic Florent, Poussières d'Etoiles est une superbe série de photographies qui met en scène des danseurs en plein mouvement avec du sable.
.
de .......:
Passionné par la danse et l'énergie que dégage ces professionnels du spectacle, le photographe russe Alexander Yakovlev déclenche son appareil photo avec de magnifiques clichés en arrêt sur image.
Dans sa série monochromatique intitulée Big Bang, le photographe "gèle" les actions des danseurs en plein mouvement avec l'explosion de farine autour d'eux.
Friesland Campina Kievit, Jeffrey Vanhoutte
Ce dernier a choisi la danseuse Noi Pakon à qui il a demandé de virevolter et de sauter parmi des nuages de poudres afin de l'immortaliser. Pleine de légèreté et d'équilibre et grâce aux nombreuses particules autour d'elle, la danseuse se trouve comme suspendue dans les airs, figée dans le temps.
Le photographe américain Tim Tadder revient pour un projet personnel, créé il y a 2 ans, intitulé : Explosive Color.
Pour capturer ces danseurs professionnels émergeant de fumées colorées denses, l'artiste a trompé notre œil en utilisant de l'amidon de maïs coloré et un canon à air. Une idée astucieuse pour ses photographies énergiques à découvrir dans la suite.
Soufrière de Montserrat - nuage de cendres de Montserrat au moment de l'éruption
Le volcan islandais Eyjafjöll, situé sous le glacier Eyjafjallajokull est en éruption depuis mercredi 14 avril
Japon: Des randonneurs ensevelis sous un nuage de cendres après l’éruption du Mont Ontake
Eruption de Volcan / Merapi / Indonésie
l'impressionnante éruption du volcan Tungurahua
Nuages radioactif
Incident lors de l'opération Béryl : l'essai nucléaire souterrain laisse s'échapper un nuage radioactif à In Ekker
un plus euhh,je vous montres c’est tout
en rien je m'engage dans ces propos qui pourrai peut etre choquer certain
juste partagé
Ici dans le nuage radioactif se cache une tête de clown
- type Ronald McDonald (voir ci-dessous)
– pouvant être interprétée comme « se moquant symboliquement des victimes ».
Une image subliminale est extrêmement troublante car sans que vous le remarquiez, vous apercevez inconsciemment des messages non maitrisables de vous.
Sans le savoir, vous scannez continuellement les images en tentant de trouver des visages car l’œil humain cherche inconsciemment les regards (La première chose qu’apprend à décoder un bébé est l’expression faciale pour détecter le danger ou la sécurité d’une personne connue).
Pour ceux qui ne voient toujours pas, voici la solution !
voila je change
"Je vais être enterré vivant": le récit des journalistes de l'AFP dans l'enfer de l'Everest
Le camp de base de l'Everest dévasté, le 25 avril 2015, après une avalanche provoquée par le séisme au Népal
Un nuage de neige et de débris lors d'une avalanche, le 25 avril 2015, juste avant de s'abattre sur le camp de base de l'Everest
Le camp de base de l'Everest le 26 avril 2015 un jour après l'avalanche déclenchée par le séisme au Népal (AFP - ROBERTO SCHMIDT)
"Nous avons alors entendu ce bruit si terrible. C'était comme un train mais qui venait de si profond (..) et puis finalement le calme, un calme absolu, je savais que j'étais vivant", raconte le photographe de l'AFP, Roberto Schmidt en se remémorant l'instant où il a cru mourir dans une avalanche sur l'Everest.
Roberto Schmidt, responsable photo pour l'AFP en Asie du Sud, et Ammu Kannampilly, directrice du bureau de Katmandou, venaient d'atteindre le camp de base de l'Everest samedi pour un reportage quand une avalanche, déclenchée par le séisme qui a tué plus de 4.350 personnes au Népal, s'est abattue sur la montagne.
Réfugiés dans la ville de Lukla, porte d'accès des alpinistes s'attaquant à l'Everest, ils font le récit de ces heures dramatiques.
- Roberto Schmidt -
"Nous venions d'arriver après un trek de neuf jours. C'est une marche difficile mais l'endroit est incroyable, à couper le souffle dans tous les sens du terme.
A peine arrivé, j'ai pris toutes sortes de photos et j'ai commencé à chercher notre tente.
Nous n'étions pas là depuis plus de 10 minutes que nous avons senti ce grondement, un gémissement. Ammu m'a demandé: 'qu'est-ce que c'est?" J'ai répondu que la terre bougeait, que c'était une avalanche.
J'ai grandi en Colombie où nous sommes habitués aux tremblements de terre mais je n'avais jamais entendu une chose pareille.
Nous sommes sortis de la tente et nous avons alors entendu ce bruit si terrible. C'était comme un train mais qui venait de si profond, c'était tellement puissant.
Le temps était très nuageux, Ammu est rentrée sous la tente et je me souviens avoir regardé sur ma gauche et tout à coup j'ai vu cette vague, accompagnée d'un grondement et je me suis dit +putain de merde+. C'était si énorme, les images n'en rendent pas totalement compte.
J'ai attrapé mon appareil, appuyé sur le déclencheur, pris trois photos et elle était sur nous. J'ai sauté à l'intérieur et me suis réfugié sous la table.
Il y a d'abord eu le vent puis comme une vague qui vous percute, nous avons été balayés, tu ne sais plus où tu es. Tu dégringoles.
Finalement, j'ai repris mes esprit, me suis mis sur le dos et j'ai entendu ce bruit de pierres qui chutent et je me suis dit: +ça y est, je vais être enterré vivant+.
Elles se sont amassées au-dessus de moi et puis finalement le calme, un calme absolu, je savais que j'étais vivant. Je savais que j'étais conscient mais je devais trouver le moyen de respirer.
J'ai essayé de me dégager, de trouver de l'air (..) et tout à coup j'ai senti une main me tirer: c'était notre sherpa Pasang.
Ammu saignait et avait un ongle arraché à la main gauche.
Nous avons eu de la chance car nos tentes étaient proches d'un rocher qui nous a empêchés d'être complètement balayés.
Je me suis dit qu'il fallait que je trouve mon appareil et Pasang me l'a tendu, enveloppé dans un bloc de neige. L'appareil était intact, l'objectif n'était même pas cassé.
Nous sommes sortis de la tente et les gens ont commencé à surgir de nulle part, tous complètement sidérés. J'ai commencé à prendre des photos et je me suis alors demandé si je devais prendre des photos ou apporter mon aide.
Dans l'heure qui a suivi, j'ai dû entendre près d'une dizaine d'avalanches aux alentours. Elles n'étaient pas loin mais je ne pouvais les voir tellement il y avait de nuages. Le bruit était très inquiétant, terrifiant, on ne savait pas si elles venaient vers nous.
J'ai commencé à aider un Népalais blessé et je me souviens lui avoir parlé de nos familles, lui avoir dit que nous reverrions nos fils. C'était un bon moment, quelque chose d'humain au milieu de tout ça.
Nous avons marché jusqu'à la tente Himex (nom de l'agence organisant l'expédition) et Ammu était là, toute bandée.
- Ammu Kannampilly -
"Il y a eu ce bruit et Roberto est sorti pour prendre des photos.
Je me suis ruée à l'intérieur pour prendre ma caméra et en une fraction de seconde il m'a crié de me coucher, il a couru dans la tente et j'ai plongé sous la table en fermant les yeux.
"Quand la secousse s'est arrêtée, j'ai rouvert les yeux et tout était blanc, comme si nous avions été plongés dans un paquet de sucre glace.
J'ai tenté de dégager la neige et ai réalisé que mes mains étaient couvertes de sang, mes lunettes avaient disparu et j'ai crié le nom de Roberto et je l'ai entendu marmonner +mon Dieu+ en espagnol.
J'ai entendu Pasang appeler mon nom et j'ai crié aussi fort que possible, il a couru et a arraché le tissu de la tente pour nous tirer de là. Il y avait quelque chose sur ma jambe qu'il a enlevé, je crois.
Je me souviens me relevant et tout était blanc et très, très calme. Je me suis dit: comment cela peut-il être si calme, où sont-ils tous?
J'ai vu l'un des porteurs, qui souffrait beaucoup, recouvert de couvertures.
La responsable de la tente des repas que j'avais rencontrée deux minutes plus tôt était là, sa tête saignait.
J'ai trouvé un rouleau de papier toilette et j'ai essayé de l'enrouler autour de sa tête et elle a commencé à bander ma main.
Après les premières répliques, j'ai sorti ma caméra et j'ai commencé à filmer en mode automatique, parce que je ne voyais pas bien.
Le papier toilette tenait mal et le sang a coulé sur la caméra, il y a eu de nouvelles répliques et le sherpa nous a dit de sortir.
Nous sommes allés à la tente Himex - ils l'appellent la capsule blanche - et ils m'ont nettoyé les mains.
Ils m'ont dit +assieds-toi là+ mais je n'étais pas tranquille car je n'aidais personne et je ne travaillais pas.
J'avais l'impression qu'il fallait que je fasse quelque chose, alors on m'a donné une paire de gants, un sherpa est venu avec moi et j'ai pris quelques plans des secours.
Je me souviens m'être dit qu'ils avaient été très rapides à se mobiliser. Il n'y avait pas d'hélicoptère le premier jour mais je me suis dit, ouah, les gens sont déjà pris en charge. Ils organisaient l'aide médicale et nous ont fourni des sacs de couchage.
Nous étions 15-20 dans la tente Himex cette nuit là mais je n'ai pas vraiment pu dormir et j'ai continué à penser au porteur blessé, je n'arrivais pas à comprendre pourquoi nous avions survécu.
Au milieu de la nuit, j'ai dû aller aux toilettes et en revenant j'ai levé la tête et vu les montagnes, un ciel immaculé, comme si rien ne s'était passé ce jour-là".
*
Suivant le tableau des propositions de thèmes, nous partons à la cueillette des pissenlits
le thème
merci,merciiiiiiiiiiiiii
Cool le theme et trop belles vos images !!!:D
A demain
bizzz
A bientot
Un excellent vendredi a tous!