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Mythe, conte et légende & Histoires extraordinaires

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Réponses

  • cake (FR1)cake (FR1) Messages: 17,437
    Modifié (13.01.2015)
    heu...rassure moi c'est pas une histoire vrai hein?
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (13.01.2015)
    Le cactus avait un coeur

    Une femme d'Arizona achète un cactus au Mexique et la rapporte chez elle. À la douane, le douanier lui demande si elle a quelques choses à déclarer, Aucun aliment, aucune plante ou animal. Un peu mal à l'aise, elle répond non. Jusque là, le cactus se comporte plutôt comme un bon cactus jusqu'au jour où elle remarque qu'il n'est plus exactement au même endroit ou elle l'avait déposé quelques jours auparavant.

    En se rapprochant de celui-ci, elle remarque qu'il a des pulsations : sa peau se soulève et se rétracte, comme s'il y avait un coeur là-dedans. La femme ne sait que penser, alors elle appelle la douane pour mentionné qu'elle a rapporter un cactus du Mexique et que celui-ci semble vibrer..

    Là, on lui dit de sortir de chez elle, tout de suite ! Et d'attendre Ils envoient quelqu'un immédiatement. Bon la fameuse équipe finit par se pointer : ils rentrent dans la maison et enferment le cactus dans un petite pièce, mais trop tard, le cactus explose et libère des milliers de scorpions. Il se trouve que les battements provenaient de ce qu'une horde de scorpions s'étaient réfugiée dedans !

    Visiblement, ils y avaient trouvé de quoi boire et manger, ils avaient fini par lui bouffer tout l'intérieur. Sous la peau, il n'y avait plus que des scorpions en train de faire leur petites affaires !
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (13.01.2015)
    oui ma cake comme toutes les précédentes !
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (13.01.2015)
    Le fou

    Elle se serait produite sur une route de Maisons-Laffitte . C'est un soir d'été, une heure très avancée de la nuit, un jeune couple rentre chez lui. Sur une route de campagne, en pleine forêt Domaniale de St Germain en Laye et complètement isolée, c'est la panne, l'homme sort de la voiture et part, à pied, à la recherche d'une station d'essence. Sa femme attend dans la voiture, seule.

    En écoutant la radio, elle apprend qu'un condamné c'est échappé d'un hôpital psychiatrique de la région. Pas confiante, elle s'enferme dans la voiture. Le temps passe, une attente interminable, quant, tout à coup, elle entend frapper sur le toit de la voiture, à intervalles réguliers. Prise de panique, elle tétanise et n'ose plus bouger, les coups n'arrêtent pas. Le temps passe et les coups continuent sur le toit de la voiture. La femme est au bord de la crise de nerf et complètement apeurée, elle est entièrement seule.

    Voici maintenant près d'une heure que les coups résonnent sur la voiture quand une patrouille de police s'arrête. Deux agents s'approchent et s'arrêtent à quelques mètres de la voiture, le regard effrayé. Tout en dégainant son arme, l'un deux crie à la femme de sortir de la voiture et de courir vers eux sans se retourner.

    Après un moment d'hésitation et le temps de reprendre ses esprits après cette interminable attente dans une peur sans égale, la femme se décide à sortir et accoure vers les deux policiers. En se retournant elle découvre la macabre vérité. L'homme évadé de l'hôpital, dont la radio parlait quelques heures plus tôt était à genoux sur le toit de la voiture et frappait sans relâche sur la voiture avec la tête, sans corps, du compagnon de la femme...
  • cake (FR1)cake (FR1) Messages: 17,437
    Modifié (13.01.2015)
    titevero2 a écrit: »
    oui ma cake comme toutes les précédentes !

    ça me rassure pas ça! xD
    et la dernière est horrible...brrrr j'aurai pas aimé etre à la place de la femme. Elle aurait fait quoi si la police n'était pas passé par là??
  • sheppy (FR1)sheppy (FR1) Messages: 465
    Modifié (13.01.2015)
    abstention
  • missray (FR1)missray (FR1) FR1 Messages: 165
    Modifié (13.01.2015)
    je viens de découvrir ce topic et me suis laisser prendre au jeu .Tu as vraiment une très belle écriture , on te lis vraiment facilement .Merci , pour ces histoires maintenant que j'ai trouver ce topic je reviendrais lire d'autres histoires
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (13.01.2015)
    Merci a vous d'apprécier et de me lire , après une longue absence me voilà revenue pour vous faire vivre d'autres histoires !!!
  • SystemSystem Messages: 106,969
    Modifié (13.01.2015)
    titevero2 a écrit: »
    bonjour a tous mes fidèles lecteurs et lectrices .... Grace a une amie , j'ai eue vent de votre tristesse de ne plus me lire .... Mais me revoilà !


    Bonsoir Titevero
    Content de ton retour j'ai repris la lecture de tes récits avec joie.
    Un grand merci
    Cordialement
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (13.01.2015)
    Ce soir-là, comme à son habitude, Margaret Simpson regardait la télévision, attendant tranquillement le retour de son mari qui donnait un concert avec la fanfare locale. Sa fillette de 3 ans, Lisa, était couchée. Tout à coup, elle entendit une voix. Elle se retourna et aperçut sa petite fille non pas dans son lit, mais assise sur l'escalier qui mène du séjour à l'étage. Elle avait les joues rouges comme lorsqu'elle s'adressait à des adultes. Lisa parlait très naturellement de son père. Puis elle dit en se tournant vers sa mère avec un petit sourire coquin: « Il est là. »

    Mais il n'y avait personne en face d'elle ; Lisa parlait dans le vide. Margaret éleva la voix plusieurs fois pour tenter d'attirer l'attention de Lisa. En vain. Au bout de quelques minutes, la fillette entra en transe sous le regard médusé de sa mère. Enfin, elle se retourna et dit au revoir à l'apparition avec un sourire chaleureux. Margaret, très perturbée, installa sa fille sur le canapé. L'enfant regardait toujours l'escalier. Elle lâcha dans un petit rire: «Il est toujours là!»

    Quelques semaines plus tard, Margaret surprit sa fille en pleine conversation, seule dans sa chambre. Elle lui demanda de décrire la personne avec qui elle discutait. L'enfant répondit très simplement qu'il s'agissait d'un vieil homme très sympathique aux cheveux blancs. Il avait interrogé Lisa sur ses parents. Il lui avait dit d'être gentille avec eux, en particulier avec sa mère, dont il disait qu'elle était « une très bonne maman ». Margaret Simpson était très intriguée.

    Lisa lui expliqua encore que l'homme avait utilisé le mot "chuck" de façon très affectueuse. Ce mot attira aussitôt la curiosité de Margaret; "Chuck" était en effet un surnom qu'on lui avait donné lorsqu'elle était enfant. Le lendemain, Margaret montra à sa fille un album de photos. Lisa l'examina et s'exclama en désignant un portrait : « C'est lui, c'est lui qui vient me voir !» C'était son arrière grand-père, décédé depuis peu. Margaret s'était brouillée avec lui suite à une querelle et durant les trois ans précédant son décès, elle ne l'avait plus revu. Lisa n'avait donc jamais eu l'occasion de le rencontrer de son vivant. Pourtant, elle affirmait l'avoir vu à deux reprises depuis sa mort. Margaret, qui avait appris son décès deux jours avant la première apparition, avait alors eu un immense sentiment de remords.
  • Jo :DJo :D Messages: 10
    Modifié (14.01.2015)
    Ah j'adore ! Ces histoires font frissonner.
    Heureusement qu'elle ne sont pas réelle.
    "Le Fou" est une de mes préférés. :) (Même si je n'ai les pas toutes lues encore :D)

    Tu les écrits toi-même ? :D
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (14.01.2015)
    coucou joseph ,

    Merci de ta visite !

    Pour la plupart elles sont vraies , et rendons a césar....non elles ne sont pas de moi !!
  • cake (FR1)cake (FR1) Messages: 17,437
    Modifié (21.01.2015)
    Bah alors ma vero? Plus d'histoire? :(
    J'attend moi :p
  • missraymissray Messages: 16
    Modifié (23.01.2015)
    oui idem , plus d'histoire dommage ^=^
  • SystemSystem Messages: 106,969
    Modifié (23.01.2015)
    Attachment not found.

    Nous t'attendons avec impatience :o
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (24.01.2015)
    bonjour à tout mes lecteurs et lectrices !

    me revoilà avec quelques histoires flippantes !


    LIEU : Cannes

    Sur la route reliant Cannes à Vallauris, une nuit de novembre 1988, trois amis prennent à leur bord une jeune fille à demi dévêtue faisant du stop. Ils la raccompagnent chez elle deux kilomètres plus loin. Le matin, retrouvant une gourmette dans sa voiture, l'automobiliste se rend au domicile de la jeune fille pour lui rendre le bijou. Les parents lui apprennent alors qu'il appartient bien à leur fille. Mais voilà : celle-ci est décédée quelques années auparavant. Somnambule, la jeune fille s'était retrouvée en pleine nuit hors de chez elle. Au matin, on la retrouva prés du domicile, renversée par un chauffard qui avait pris la fuite.
  • SystemSystem Messages: 106,969
    Modifié (24.01.2015)
    Bonjour
    Cool j'adore se que tu écris je prend un abonnement et viendrais régulièrement lire tes histoires ..
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (24.01.2015)
    LIEU : Raray, Oise

    Le château de Raray est le château magique, qui a servi de cadre au tournage du film "La Belle et la bête" de Jean Cocteau. Les alentours de la très intrigante porte à la Licorne, ornée de statues énigmatiques, sont hantés par le fantôme d'un petit garçon. L'affaire remonte au 17e siècle, juste après la construction de la demeure. Un jour, une jeune servante se pendit dans le petit bois face à la porte à la Licorne. On retrouva dans le bois son petit garçon éperdu, errant à la recherche de sa mère. Il portait de graves blessures. Il est probable que la malheureuse ait tenté de l'entraîner dans sa perte. Nul ne sait ce qu'il advint de lui par la suite mais, depuis, son petit fantôme apparaît, errant régulièrement près de la porte, juste à la lisière du sinistre bois. De nos jours, le château est un vaste hôtel touristique avec golf. Cependant, il garde toujours son petit fantôme qui continue d'errer à la lisière du bois, à la recherche de sa mère. Les enfants le voient souvent.
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (24.01.2015)
    Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.

    Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

    Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :

    « Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
    Mais Floppy n'arrivait pas.

    Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
    « Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »

    Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :

    « Allo ?

    - ...
    - Allo ? C'est qui ?
    - Ca va Aurélie ?
    - Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?
    - Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »
    - Quoi !
    - Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.
    - Vous avez fait du mal à Floppy ?
    - Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

    Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.

    Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

    « Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

    Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait. Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.

    Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.

    Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

    Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

    Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

    La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

    « Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.
    - ...
    - Tu sais où je suis ?
    - Heu... n... heu... n... non.
    - Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !
    - Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !
    - Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !
    - ...
    - Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !
    - Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

    Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

    La voix à l'autre bout du fil reprit :

    - Tu sais Aurélie ?
    - Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !
    - Je suis au premier étage maintenant ! »

    Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.

    Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

    Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

    Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

    Et le téléphone continuait de sonner...

    Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

    « Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.
    - ...
    - Tu sais où je suis ? »

    Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

    « Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

    La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage !

    Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.

    Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son :

    C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.

    Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

    « Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »

    Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...

    JE SUIS DERRIERE TOI !
  • SystemSystem Messages: 106,969
    Modifié (24.01.2015)
    Brrrrrrrrrr la dernière !!!!

    Merci content de ton retour!
    Amicalement
  • cake (FR1)cake (FR1) Messages: 17,437
    Modifié (24.01.2015)
    je n'ai qu'un mot.....terrifiant xD
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (24.01.2015)
    Deux enfants, Carissa et Justin, disent voir des gens que personne d'autre ne voit! Carissa est protégée depuis son plus jeune âge par un fantôme qu'on aperçoit sur les photos. Mais maintenant qu'elle a 5 ans, elle ne veut pas en parler car elle a peur. Assez étrange!

    [video=youtube_share;3rIEIRNE2W0]http://youtu.be/3rIEIRNE2W0[/video]
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (24.01.2015)
    Poum poum tchik.

    19h. Une famille composée des deux parents et de leurs deux filles (7 et 12 ans) regardaient le journal télévisé. A l’écran, des images d’un institut psychiatrique près de chez eux. La voix du présentateur se voulait grave et alarmante.

    « Toute personne habitant dans les parages se doit de fermer ses portes à clé et être attentif à toute présence suspecte. Un patient de l’asile s’est échappé et il est potentiellement dangereux. Il est facilement reconnaissable car il est amputé des bras et des jambes. Si vous le voyez, contactez le numéro d’urgence. »

    Les parents se retournèrent vers leurs enfants et leur lancèrent un regard inquiet. En effet, ils avaient prévu de coucher chez des amis et de laisser les fillettes seules à la maison. Après un rapide débat sur la décision à prendre, ils convinrent qu’avec toutes leurs portes et fenêtres bien fermées à clé rien ne pourrait leur arriver de grave. Après les avoir fait dîner et leur avoir souhaité une bonne nuit, ils embarquèrent pour leur soirée.

    Mais très vite, les jeunes filles furent dérangées par des bruits dans leur maison. Bruits de portes grinçantes, de plancher qui craque… et un son très particulier, formant une mélodie dérangeante : « poum poum tchik ». Origine du son inconnue. Mais il était répété mécaniquement, et les filles commencèrent à s’inquiéter. La plus jeune vint se réfugier dans le lit de sa grande sœur, qui elle-même se demandait d’où pouvait provenir ces bruits si particuliers. Au bout d’une demi-heure à l’entendre de temps en temps, elle laissa sa sœur endormie dans sa chambre et descendit doucement l’escalier.

    Tout était vide et le bruit avait disparu. Seul le silence et quelques crissements de la maison ensommeillée restaient perceptibles. Hésitante, elle parcourut rapidement le rez-de-chaussée et courut rejoindre l’étage.

    Elle poussa la porte de sa chambre et étouffa un cri. Sa sœur baignait dans son propre sang. Affolée et sous le choc, elle se rendit compte que le bruit avait repris. « Poum poum tchik ». « Poum poum tchik ». De plus en plus fort, de plus en plus près. Elle se retourna.

    Le patient dont la photo avait été affichée tout le long du journal télévisé était maintenant devant elle. Pas d’avant-bras, ni de jambes mais des moignons au bout des coudes et des genoux. Il était à quelques mètres d’elle. Terrifiée, elle était paralysée. Il avança alors vers elle. Il posa ses coudes un à un sur le sol. Poum poum. Traîna son corps le long du carrelage. Tchik. Il lui sourit.

    Le lendemain matin, les parents trouvèrent les cadavres de leurs enfants et appelèrent les secours. Ce n’est qu’après plusieurs heures de désespoir qu’ils se dirent qu’ils auraient sûrement dû fermer à clé avant même de regarder le journal télévisé.
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (24.01.2015)
    OSCAR LE CHAT QUI SAIT TOUT

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    Recueilli dans une unité pour malades d'Alzheimer à Rhode Island, il présente la particularité incroyable d'identifier les patients dont la mort est imminente.

    « OSCAR arrive devant la chambre 313. La porte est ouverte, il entre. Mme K. est allongée paisiblement sur son lit et respire doucement. Autour d'elle, les photos de ses petits-enfants et une de son mariage. Malgré ces souvenirs, elle est seule. Oscar saute sur le lit, renifle l'air et marque une pause, histoire de considérer la situation. Sans plus hésiter, il fait alors deux tours sur lui-même pour se lover contre Mme K. Une heure passe. Oscar attend.

    Une infirmière entre, vérifie l'état de la malade et note la présence d'Oscar. Préoccupée, elle sort et commence à passer des coups de téléphone. La famille arrive, le prêtre est appelé pour les derniers sacrements. Le matou ne bouge toujours pas. Le petit-fils de Mme K. demande alors : "Mais que fait le chat ici ?"

    Sa mère, maîtrisant ses larmes, lui répond : "Il est là pour aider grand-mère à arriver au paradis..." Trente minutes plus tard, Mme K. pousse son dernier soupir. Oscar se lève, sort à pas de velours, sans que personne ne le remarque...

    Une fois n'est pas coutume, la prestigieuse revue médicale américaine The New England Journal of Medicine, dans son dernier numéro, loin de ses articles austères, a choisi de publier l'histoire vraie et touchante d'un petit chat pas comme les autres. Recueilli dans une unité pour malades d'Alzheimer à Rhode Island aux États-Unis, il présente la particularité incroyable d'identifier les patients dont la mort est imminente et de se blottir alors contre eux pour leur apporter un ultime réconfort. Il s'intéresse à chaque patient, mais ne s'installe sur leur lit que lorsque le moment fatal est arrivé. Le docteur David Dosa, gériatre à l'hôpital Rhode Island de Providence, travaillant dans cette unité, décrit avec précision dans le New England comment ce chat a transformé les pratiques de fin de vie, en prévoyant les décès, permettant d'organiser l'appel aux familles et les derniers offices religieux.

    « Un indicateur quasi certain »

    Quand les employés de cette maison de retraite de la ville de Providence ont recueilli le petit chat Oscar, ils étaient loin d'imaginer que ce dernier leur indiquerait, avec une fiabilité jamais démentie, le prochain patient qui passerait de vie à trépas. L'animal, âgé de deux ans, tigré et blanc, a été adopté par le personnel de l'unité de soins spécialisés dans la maladie d'Alzheimer situé au troisième étage. Selon David Dosa, Oscar fait des rondes régulières, observe les patients, les renifle avant de passer son chemin ou de s'installer pour un dernier câlin. Il lui est arrivé d'accompagner jusqu'à leur ultime demeure des mourants qui, faute de famille, seraient morts tout seul.


    Ses prévisions se sont révélées jusqu'à présent si exactes que, dès qu'il se blottit contre un patient, les soignants contactent les proches. « Personne ne meurt au troisième étage sans avoir reçu la visite d'Oscar, écrit David Dosa. Sa seule présence au chevet d'un patient est perçue par les médecins et les soignants comme un indicateur quasi certain d'un décès imminent. »


    Jusqu'ici, il a supervisé la mort de plus de 25 pensionnaires, selon David Dosa, qui a précisé de ne pas pouvoir fournir d'explication aux capacités divinatoires du chat. Oscar a-t-il des dons particuliers ? Cette histoire permet de méditer en tout cas sur l'impact des animaux de compagnie dans certaines structures destinées aux personnes âgées.


    Les chats, animaux particulièrement affectueux, pourraient jouer un rôle de réconfort pour ces malades atteints d'Alzheimer que la démence éloigne du monde rationnel. L'agence d'hospitalisation locale, en tout cas, a pris la mesure du rôle d'Oscar puisqu'elle a fait graver ces quelques mots sur le mur du service : « Cette plaque récompense Oscar le chat pour ses soins dignement compassionnels. »
  • cake (FR1)cake (FR1) Messages: 17,437
    Modifié (25.01.2015)
    L'histoire d'Oscar le chat je la connaissait :)
    Tu sais à quel point Je n'aime pas les histoires de fantômes ma vero, celle-là ne me reconforte pas :p
    Et celle du fou.....brrr
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (25.01.2015)
    Avis aux modos: Curieux que j'arrive plus a déposer des images comme avant !!!
  • cake (FR1)cake (FR1) Messages: 17,437
    Modifié (26.01.2015)
    coucou ma vero, le forum a un peu changer depuis ton départ c'est pour ça.
    Voici l'explication pour mettre une image ;)
  • SystemSystem Messages: 106,969
    Modifié (22.03.2015)
    titevero tu nous manques beaucoup tu nous reviens quand :confused:
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