Accueil French Jeux et divertissements

Nos amis à plumes : Aigles, faucons et oiseaux de nuit...

collavie (FR1)collavie (FR1) Messages: 166
Modifié (17.11.2014) dans Jeux et divertissements
http://www.fauconspourtous.be/live2.jsp?lang=fr

lien pou nis EN DIRECT


Faucons pour tous - Faucons pèlerins à la cathédrale

e dernier était fréquenté uniquement en dehors de la période de reproduction et aucune nidification n’a donc été constatée cette année, mais la présence du couple dans le nichoir à de nombreuses reprises lors de l’hiver 2012/2013 laisse espérer une future reproduction.

Sur les 52 sites rupestres inventoriés, 44 sites ont été contrôlés par une vingtaine de surveillants en 2012. 40 sites étaient occupés par la Faucon pèlerin dont 6 carrières (dont 4 sont en activités).
31 couples ont été dénombrés dont 13 ont réussi leur reproduction ; les échecs pouvant s’expliquer par la présence du Hibou grand-duc (1 cas), au moins 1 par dérangement humain (travaux sur un barrage : 3 poussins mais un seul jeune à l’envol) et enfin un échec sur un couple ayant pondu 4 œufs et dont les causes peuvent être la prédation, le dérangement…

Au total, 28 jeunes se sont envolés en 2012 : 5 sites à 1 jeune à l’envol, 3 sites avec 2 jeunes, 3 sites avec 3 jeunes et 2 sites avec 4 jeunes à l’envol. C’est donc la seconde année successive où le nombre de jeunes à l’envol est en baisse (38 jeunes à l'envol en 2011) ; 2010 étant une année exceptionnelle avec 58 jeunes à l’envol.

Cette diminution du nombre de jeunes à l’envol peut s’expliquer aussi par une prospection moindre sur certains sites (notamment en mai), la présence du Grand corbeau sur certain site, la recolonisation du département par le Hibou grand-duc et surtout les mauvaises conditions météorologiques (printemps pluvieux, notamment des éclosions et au stade des poussins) ayant touchées le Limousin.

38 jours (soit 294 heures) ont été consacrés à la surveillance du Faucon pèlerin en Corrèze dont 10 (soit 80 heures) par l’ONCFS 19 (10 jours pour 10 sites suivis).

Le bilan 2012 reste un bilan entièrement satisfaisant et nous remercions les 20 surveillants qui ont permis de suivre ce magnifique rapace en Corrèze. Nous espérons qu’un suivi plus approfondi sera réalisé en 2013, avec au moins 4 passages sur les sites, et que les conditions météorologiques soient meilleures.
Coordinateur : Arnaud REYNIER (LPO Corrèze), en lien avec la SEPOL et le Service Départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage.


Identification :
Posé, le faucon pèlerin paraît "compact", plus court et relativement plus large d'épaules que la buse variable, il est aussi sensiblement moins volumineux. En fait la femelle a la corpulence d'un gros ramier, alors que le mâle, 1/3 plus petit (d'où son nom de "tiercelet") a celle d'un pigeon domestique. Ce terme de "tiercelet" est emprunté à la fauconnerie, il désigne à l'origine le mâle du pèlerin, exclusivement, mais depuis plusieurs décennies il est généralisé au mâle de tous les rapaces.
La tête ronde, assez volumineuse par rapport au corps, paraît relativement plus petite chez la femelle que chez le mâle. Elle est noire chez l'adulte, brun plus ou moins sombre ou roussâtre chez les jeunes de moins de 1 an.
Les joues sont marquées d'une large tache noire en forme de "favoris".
La moustache - commune à toutes les variétés de faucons - est particulièrement large chez le pèlerin ; la tête noire et les larges moustaches donnent l'impression que l'oiseau est casqué.
Le bec est courbe, court et pourvu d'une denticulation à la mandibule supérieure qu'on observe chez tous les faucons. Cette sorte de "dent" permettrait aux faucons de tuer plus facilement leur proie en coupant les ligaments et la mœlle épinière, lorsqu'ils la mordent au niveau du cou après la capture.
Le plumage des deux sexes est sensiblement le même. Le dos est marron plutôt uniforme chez les jeunes, gris chez les adultes. Cependant, le mâle est souvent plus clair que la femelle dont les couleurs tendent vers le gris anthracite plus ou moins teinté de brun. Chez la femelle, le contraste clair à la base de la queue est moins marqué que chez le tiercelet. Les parties inférieures sont chamois, ponctuées de "larmes" marron chez les jeunes, blanc à blanc roussâtre barrées aux flancs et les faces inférieures chez les adultes. Le mâle, plus souvent que la femelle, a la gorge claire uniforme ou peu marquée, alors que celle de la femelle est généralement parsemée de grosses taches noires. À distance, le mâle paraît donc plus contrasté - blanc et gris - sur les parties inférieures, au contraire de la femelle qui paraît de teinte plus uniforme, claire ou roussâtre, mais fréquemment plus roussâtre que les mâles.
La cire (cette peau qui recouvre les pattes, la base du bec et le tour de l'œil) est jaune-maïs chez les adultes. Chez les jeunes elle est bleue, pour ce qui concerne la cire du bec et le tour de l'œil. Celle des pattes est bleue à jaune verdâtre et évolue progressivement au jaune terne au cours des mois qui suivent l'envol.

Chant : Le faucon pèlerin huit, réclame.
Hors période de nidification, le pèlerin est habituellement silencieux, en revanche de mi-février à fin-juin (période de reproduction), et plus particulièrement lors des pariades (février-mars), il est très démonstratif et bruyant. Perchés dans le site de reproduction, le mâle aussi bien que la femelle, émettent des cris longs et traînants qui pourraient constituer le "chant". En vol ou posés sur l'aire ou ses abords, les faucons produisent de nombreuses émissions vocales brèves et "claquantes" (les "Tsicks") qui indiquent un haut niveau d'excitation en particulier à l'approche d'un congénère. S'il est dérangé ou se sent menacé, durant la période de reproduction, le pèlerin "alarme" : cri bref, haché et répétitif "kré, kré , kré...".

Habitat : Le faucon pèlerin est un oiseau rupestre. Il utilise les falaises aussi bien comme point d'observation élevé pour la chasse que pour nicher. Ses plus fortes densités se trouvent donc dans les régions riches en proies potentielles et où les escarpements rocheux sont nombreux. En France, il est cantonné aux falaises côtières de la Manche, ou le long des fleuves de plaine (vallée de Seine par exemple) et jusque vers 2 000 m d'altitude dans les Alpes. Quand les populations rupestres sont à saturation, le pèlerin investit carrières et constructions humaines élevées, jusque dans les grandes agglomérations ou dans les arbres, pour se reproduire. Il niche même parfois au sol, en particulier dans la toundra arctique.

Distribution : Le faucon pèlerin est cosmopolite. On le trouve dans toutes les parties du monde, exceptées les régions à très faible ou très forte hygrométrie (déserts secs et froids de l'arctique, secs et chauds du Sahara, Gobie et Australie Centrale). Dans ces régions à faible hygrométrie il est remplacé par les faucons "de désert", les hierofalcos (gerfaut, sacre, lanier, laggar, faucon brun, faucon de prairie). Dans les forêts tropicales humides et la Nouvelle-Zélande sa niche écologique est occupée par des espèces voisines, mieux adaptées à ces conditions climatiques particulières (faucon à poitrine orangée en Amazonie, Taita en Afrique Equatoriale, ou faucon de nouvelle-zélande.

Comportements : Le faucon pèlerin est remarquable par ses capacités de vol.

En période nuptiale, les deux partenaires se livrent à des jeux aériens : poursuites, piqués vertigineux, loopings, tout à fait spectaculaires. Lors de piqués verticaux de très grande hauteur, sa vitesse peut dépasser 350 km/h. La femelle plus lourde atteint des vitesses plus élevées, bien que le tiercelet, du fait de sa petite taille, donne l'impression d'être plus rapide.

En chasse, à la suite d'un vol plané ou d'un vol battu "de placement" qui peut se poursuivre sur plusieurs kilomètres, le faucon referme ses ailes pour l'attaque terminale. Ce piqué "ailes fermées" est le plus souvent réalisé selon des angles compris entre 30 et 40-50° sous l'horizontale. Lors de ces attaques, le temps de descente, ailes plus ou moins collées au corps, n'est pas suffisant pour que la vitesse puisse dépasser 150 à 250 km/h. Cependant, il arrive parfois, lors de piqués de chasse verticaux de plus de 1km - très rarement observés - que la vitesse puisse vraisemblablement dépasser les 350 km/h, comme le montrent des mesures faites en soufflerie (Tucker et Cade) ou sur des faucons lâchés depuis un avion (Ken Franklin).
En fin de piqué la trajectoire est plus ou moins horizontale ou montante, de sorte que la proie est abordée par derrière dans l'angle mort de la queue.
Si la proie n'a pas repéré l'arrivée du faucon, elle est soit liée - c'est à dire prise directement dans les serres - soit buffetée - c'est à dire frappée au passage par les serres tendues en avant, et non pas avec le bréchet comme cela a pu être dit parfois. Dans ce cas, le faucon "ressource" vers le ciel et pique de nouveau pour capturer la proie en train de tomber. En tous cas dans les derniers mètres, le faucon se redresse presque perpendiculairement à la trajectoire, serres tendues en avant au niveau du bec (ce mouvement provoque un bruit de "souffle" très puissant et impressionnant). Si la proie est buffetée, elle est tuée voire disloquée par le choc. Si elle est liée, le contact reste assez violent pour que l'oiseau capturé soit tué ou étourdi sous le choc. Dans tous les cas, après la capture, la proie est mordue au cou pour être tuée. Quand elle est de petite taille, elle peut être plumée et mangée en vol, sinon le faucon la transporte jusqu'à la falaise pour la plumer et la manger. Quand le faucon est rassasié et que sa proie n'est pas totalement consommée, les restes sont cachés dans une anfractuosité ou derrière une touffe de végétation dans la falaise.
Le taux de réussite des attaques varie considérablement d'une région et d'une période de l'année à l'autre. Les plus forts taux - environ 1 prise pour 5 à 10 attaques - sont observés lors d'attaques au dessus de plans d'eau où les proies n'ont pas de refuge possible. Mais généralement, le taux de capture est plus proche de une prise pour 15 attaques, en moyenne.

Les couples sont très attachés à leur territoire, mais ce sont surtout les mâles - les tiercelets - qui sont les "propriétaires" du site et qui le défendent contre les intrus. Les femelles quant à elles sont moins attachées au site et peuvent selon les cas changer de site et de partenaire d'une année à l'autre. En revanche du fait de leur forte corpulence, se sont surtout elles qui défendent le site et la nichée contre les intrusions de prédateurs potentiels. Les attaques défensives sont généralement accompagnées de cris d'alarme, alors que les attaques territoriales vis à vis d'un autre pèlerin sont accompagnées de "ticks" sonores et répétés. Qu'elles soient territoriales, ou défensives, quand les 2 partenaires sont présents dans le site, ils participent tous deux aux attaques, le tiercelet étant le plus agressif vis-à-vis d'un autre tiercelet et restant plus en retrait quand il s'agit d'une attaque défensive interspécifique.

Vol : En vol battu, les ailes coudées vers l'arrière (en forme de lame de faux) paraissent pointues. Les battements d'ailes sont rapides - 5 à 6 par seconde - et de faible amplitude quand il s'agit d'un vol de déplacement ordinaire. Ce vol est entrecoupé de courts planés. Au contraire quand il s'agit d'un vol d'attaque, les battements, tout aussi véloces, sont de très grande amplitude et accélérés jusqu'au moment où le faucon replie les ailes pour le piqué terminal.

En vol plané, si le vent est assez portant, les ailes sont coudées vers l'arrière, la queue pratiquement fermée ; l'oiseau présente alors l'allure d'une grande hirondelle, ou selon la comparaison de Paul Géroudet, la forme d'une ancre de marine. En revanche si le vent est moins portant, la queue est totalement déployée en éventail et les ailes pratiquement droites à l'horizontale du dos, l'oiseau a alors l'aspect d'une croix. Chez les femelles, plus lourdes et "denses", le bout de l'aile fait souvent un angle en pointant vers le haut à partir du poignet.

Nidification : En France, le cantonnement des couples débute avec les premiers beaux jours de février (quelquefois mi-janvier), et culmine début mars. Les accouplements commencent environ 2 à 3 semaines avant la ponte. Comme les nocturnes, les faucons ne construisent pas de nid. Ils pondent à même le sol sur une vire, dans un trou, une niche, ou un ancien nid de grands corbeaux ou d'un autre rapace. Le substrat sableux ou terreux qui recouvre le sol est gratté par l'un ou l'autre des deux adultes. Dans une falaise, plusieurs "emplacements" sont grattés, aussi bien par le mâle que la femelle, mais c'est la femelle qui, au dernier moment, fait le choix de pondre dans l'une ou l'autre des " coupelles de grattage" qui deviendra "l'aire".

La ponte comporte de 3 à 4 œufs, plus rarement 2 ou 5 (jusqu'à 6 exceptionnellement, seulement 2 cas connus). Les œufs, de couleur marron rougeâtre, sont pondus toutes les 48 à 72 heures. Si la ponte est détruite dans les premiers jours de l'incubation, une ponte de remplacement peut débuter 15 jours plus tard (capacité qui a été mise à profit lors du "projet pèlerin", initié en 1974 dans le Jura pour accroître la productivité naturelle de la population de faucons, décimée par la contamination par les organochlorés et les "désairages").
Dans les quelques jours qui précèdent la ponte, le ventre de la femelle est gonflé et l'oiseau ne vole plus guère, elle est nourrie par le tiercelet.

L'incubation dure 30 jours, elle est assurée, grosso-modo, au 2/3 du temps par la femelle et 1/3 par le mâle. Elle débute à la ponte de l'avant dernier œuf (en général le 3ème) de sorte que les poussins éclosent pratiquement tous le même jour à 24 heures près. Au cours de leur première semaine, il n'y a pas de différence de taille entre mâles et femelles. À l'éclosion, les poussins sont recouverts d'un premier duvet blanc très fin, qui sera remplacé par le deuxième duvet, beaucoup plus dense et épais, à partir du 15ème jour.

L'élevage :
Si les conditions météorologiques sont bonnes, la femelle ne quitte pas ses jeunes durant la première semaine. Elle reste sur eux pour les garder au chaud, plus ou moins allongée et de plus en plus redressée au fil des jours. Si tout se passe normalement, le mâle chasse et apporte les proies à l'aire. C'est la femelle qui dépèce et distribue la nourriture, mais le mâle est tout à fait capable d'assurer aussi cette tâche, quand la femelle le laisse faire.
Vers le 15ème jour les jeunes se couvrent du 2ème duvet, dont ils sont entièrement recouvert le 20ème jour. Ce duvet très dense et épais, permet aux fauconneaux de résister par eux même aux faibles températures. La femelle les laisse alors de plus en plus souvent et longtemps seuls tout en restant à proximité pour les protéger le cas échéant, à la condition que le mâle s'acquitte correctement de sa tâche, l'apport de proies. Si pour une raison quelconque - tiercelet mauvais chasseur, " paresseux ", conditions météorologiques défavorables - la femelle peut quitter le site et aller chasser par elle-même. La nichée laissée sans protection et alors à portée d'autres prédateurs, le grand corbeau, entre autres.
On a observé quelques fois qu'une deuxième femelle, généralement une immature, se fasse accepter par le couple nicheur et participe aussi bien à l'incubation qu'au nourrissage des jeunes.

Régime : Il n'est pas possible de donner un régime bien précis, celui-ci variant considérablement d'une région et d'une période de l'année à l'autre.
Ornithophage, le pèlerin ne chasse pratiquement que des oiseaux capturés en vol. Toutefois il lui arrive, comme tous les oiseaux, de capturer aussi de gros insectes en vol - hannetons par exemple - ou des chauves-souris et de façon anecdotique des rongeurs.
Le mâle, plus petit, se contente de proies dont la taille varie de celle de la mésange à celle du geai, voir du pigeon colombin.
La femelle, plus corpulente, capture des proies dont la taille varie de celle du merle à celle du pigeon ramier, rarement plus gros. La capture de canards, ou même d'oies et de hérons, a été mentionnée, mais ces captures sont tout à fait exceptionnelles et le fait d'oiseaux nordiques - plus corpulents - sur leur parcours migratoire, donc non "tenus" de ramener à la falaise, la proie qui est mangée sur place. Ces proies exceptionnelles mises en avant, ont souvent donné une fausse idée de la réalité du régime alimentaire du faucon pèlerin, en sur estimant ses capacités de chasseur.

Protection / Menaces : Dans les années soixante, l'usage massif de pesticides organochlorés en l'agriculture - DDT, Heptachlore, Lindane, etc... - a entraîné un déclin spectaculaire de l'espèce dans la plupart des régions du globe. En France, le pèlerin ne subsistait plus que dans les régions montagneuses les moins touchées par la pollution chimique - Jura, Alpes, sud Massif Central, Pyrénées, Corse.
De nos jours, le prélèvement des œufs et des jeunes pour leur utilisation et leur commerce, a pratiquement disparu grâce au bannissement des pesticides organochlorés et à la reproduction des rapaces en captivité qui permet de satisfaire à la demande.


260438FauconpelerinvideonidUniversityBuffalo.jpg
Post edited by collavie (FR1) on
«1

Réponses

  • joezar (FR1)joezar (FR1) Messages: 464
    Modifié (17.04.2013)
    J'adore les rapaces Collavie, je trouve qu'ils sont extraordinaires et leurs regards....Celle d'Harry Potter était très belle !!!
  • DarkstofforDarkstoffor Messages: 68
    Modifié (17.04.2013)
    J'ai vu le faucon à son réveil ce matin !!!

    Voici des image d'un aigle en train de chasser... Une des caméras est fixée sur l'oiseau..
  • [Utilisateur supprimé][Utilisateur supprimé] Messages: 1,847
    Modifié (17.04.2013)
    Les faucons, ça m'évoque une sortie à l'école, une visite au rocher des aigles à Rocamadour (c'est une ville avant d'être un fromage :p), j'avais assisté à un spectacle avec plein d'oiseaux majestueux, dont des faucons, assis au sol ils nous passaient dessus, de jambes en jambes ;)
    Ca me rappelle aussi un livre, lu à l'école (j'en ai fait des choses à l'écoles xD) Le faucon déniché de Jean Claude Naugués, un livre pour enfant mais il m'a marqué donc pourquoi pas à relire sur une plage ;)

    faucon10.jpg
  • cake (FR1)cake (FR1) Messages: 17,437
    Modifié (17.04.2013)
    Bonjour à tous!
    Si vous parlez oiseaux alors je suis obligée de vous parler du parc des oiseaux à Villars les Dombes!
    FamilleNoFile.jpg

    Ce parc regroupe de plus de 2 000 oiseaux du monde entier. En plus, il y a aussi des spectacles. Comme pour Cécile les oiseaux passe au dessus de nous.

    parc-des-oiseaux.jpg

    Et comble du bonheur, pour ceux qui veulent, on peux même approcher et nourrir des loris
    loris_parc-des-oiseaux_villars-les-dombes_cc-parc-des-oiseaux_330.jpg
    Pour les amoureux des oiseaux, c'est un endroit magnifique!
  • joezar (FR1)joezar (FR1) Messages: 464
    Modifié (17.04.2013)
    Oui nous avons ça aussi à Bandol mais plus modeste
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (17.04.2013)
    Les Aigles des Remparts - Provins (France-77) / Eagles show [à 1h 4min de chez moi !]
  • collavie (FR1)collavie (FR1) Messages: 166
    Modifié (17.04.2013)
    oui nou osi me peti
  • badianier2badianier2 Messages: 466
    Modifié (21.05.2013)
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (21.05.2013)
    joli !
  • badianier2badianier2 Messages: 466
    Modifié (21.05.2013)
  • titevero (FR1)titevero (FR1) Messages: 2,462
    Modifié (21.05.2013)
    qu'elle dextérité et grâce !
  • badianier2badianier2 Messages: 466
    Modifié (28.05.2013)
    324713-212698688791659-2004009825-o.jpg
  • badianier2badianier2 Messages: 466
    Modifié (23.09.2013)
    Bonjour, un petit UP de qualité
  • [Utilisateur supprimé][Utilisateur supprimé] Messages: 1,847
    Modifié (23.09.2013)
    Super vidéo colette :) Merci
  • matuman (FR1)matuman (FR1) FR1 Messages: 1,747
    Modifié (03.01.2014)
  • supersylousupersylou Messages: 1,576
    Modifié (03.01.2014)
    Oh, j'avais jamais vu, Cake parle de Villars les Dombes ! :D (bon, ça fait quand même quasiment un an ...)
    Etant bourguignon, j'y suis allé, même plusieurs fois :D Le spectacle n'existe depuis pas très longtemps, mais on a jamais eu de chance avec ce dernier : la première fois, spectacle annulé, orage ; une autre fois, spectacle raccourci, il faisait trop chaud ... :( Mais impressionant :D
  • crossing up (FR1)crossing up (FR1) Messages: 4,408
    Modifié (25.01.2014)
    34.jpeg
  • matuman (FR1)matuman (FR1) FR1 Messages: 1,747
    Modifié (26.01.2014)
    hibou-grand-duc_186771-L.jpg
  • matuman (FR1)matuman (FR1) FR1 Messages: 1,747
    Modifié (26.01.2014)
    au puy du fou
    super spectacle de vol de rapaces

    FauconierPuydufou1-2007.jpg
  • matuman (FR1)matuman (FR1) FR1 Messages: 1,747
    Modifié (02.02.2014)
    au dodo !!!! lol

    animaux-mi-animaux-hiboux-img.jpg
  • SystemSystem Messages: 106,969
    Modifié (03.02.2014)
    oh elle est mimi la chouette matuman!

    :D
  • crossing up (FR1)crossing up (FR1) Messages: 4,408
    Modifié (07.02.2014)
    jxzeijhq.jpg
  • bleucanardbleucanard Messages: 256
    Modifié (07.11.2014)
    Oh oh, c'est que j'ai toute ma place dans ce topique!!

    Belle, à plume, bleue :)

    Un bec et des pattes palmées aux dimensions exquises. Ma photo de mon meilleur profil parle pour moi ;) hihihihihi
  • badianier2badianier2 Messages: 466
    Modifié (07.11.2014)
    Bonsoir, un canard bleu ? Hummm cela me fait penser que j'ai oublié de racheter du canard WC.....Ouiii je sorts !

    Canard-WC.jpg

    NB : c'est une blague
  • olavache (FR1)olavache (FR1) FR1 Messages: 67
    Modifié (09.11.2014)
    Nous avons tous besoin de bons produits :)
  • olavache (FR1)olavache (FR1) FR1 Messages: 67
    Modifié (09.11.2014)
    Ce n'est pas la bonne photo, vous en conviendrez ...
    Je n'arrive pas à la modifier ..

    Navrée, mesdames les modettes, je n'ai pas réussi à faire mieux qu'un double post. A supprimer bien entendu.
  • capucine83200 (FR1)capucine83200 (FR1) Messages: 1,924
    Modifié (09.11.2014)
    moi ce sont les becs crochus qui me plaisent

    201008191413-110.20090601112640xa76459fa.jpg
  • bleucanardbleucanard Messages: 256
    Modifié (09.11.2014)
    Belle photographie. Le bleu des ailes est saisissant ...

    Je vous partage ma plus jolie photo de canard, c'est plus doux un canard non, leur bec n'est pas dangereux.
  • boutrama (FR1)boutrama (FR1) Messages: 7,120
    Modifié (10.11.2014)
    121121_colibri_aquaticforum.jpg colibri
  • roro3912roro3912 Messages: 864
    Modifié (12.11.2014)
    Moi aussi j'adore les becs crochus, en particulier les perruches ondulées dont je fais de la reproduction avec ma maman.
    J'ai aussi deux calopsittes, becs crochus un peu plus gros, un peu comme le cacatoès avec une huppe, mais plus petits.
Sign In to comment.